François Schneider et l'âne Jujube à Bordeaux (Photo
Thierry David)
Un an de voyage sur les routes, à pied, avec un âne. Le but : aller à la rencontre de ses contemporains pour colporter le débat sur la décroissance.
Comment agir face aux problèmes écologiques et sociaux de ce monde? Après avoir travaillé dans des instituts environnementaux, le 28 juillet 2004, François Schneider est parti avec l’ânesse Jujube pour expérimenter le métier de colporteur de décroissance combinant deux aspects importants: une ouverture sur les gens et une cohérence dans l'action. Ils ont quitté Luc-en-Diois, un village de 500 habitant du fond de la vallée de la Drôme, pour rejoindre l’océan par le massif central. Ils ont ensuite rejoint la côte méditerranéenne par Bordeaux et le canal du midi et sont remontés vers le Vercors puis Lyon. A Lyon une centaine de marcheurs les ont rejoint pour une grande marche de Lyon à Magny-cours. A l'arrivée ils étaient 500.
28 juillet 2004: départ de Luc-en-diois (Drôme) |
15 mars : Villeneuve-les-maguelonne (Montpellier) |